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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 08:03

 


 
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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 07:48

• Voyage à travers la lumière

“Pour ceux qui doutent que nous sommes merveilleux dans notre essence, lisez ce témoignage exceptionnel aux frontières de la mort.” — Anne Givaudan.
Mellen-Thomas Benedict, en phase terminale d’un cancer, a vécu en 1982 une expérience de mort imminente (NDE en anglais ou EMI en français). Il est mort durant plus d’une heure et demie, temps durant lequel il a vécu une expérience mystique hors du commun, correspondant à ce qu’il était alors et qui l’animait. Le récit qu’il en fait est riche d’enseignements au sens large.
Lire la suite sur urantia-gaia :link
http://www.urantia-gaia.info/2012/03/10/voyage-a-travers-la-lumiere/

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 19:52

"Noël devrait être le temps d’une profonde réflexion" avec Pierre Rabhi

 


Entre une fête chrétienne qui n’est plus forcément vécue comme telle et le grand déballage consumériste auquel on assiste tous les ans, que signifie Noël pour vous ?
Noël est la commémoration de la naissance de Jésus-Christ, et cela reste pour ceux qui sont encore dans le giron du christianisme. Je constate que cette signification originelle s’est effacée au profit d’une conception plus laïque, et même païenne. Pour ma part, je ne suis pas un homme des commémorations. Vous savez, même pour mon anniversaire, je ne sais parfois plus bien où j’en suis.
En revanche, je récuse l’outrance avec laquelle se déroule aujourd’hui ce temps festif, qui est une occasion de se rencontrer et de manifester son attention aux autres. Cet excès trahit une société où on a perdu le sens de la vraie joie, qui ne s’achète pas. La joie n’est pas de nature commerciale. La preuve, on la rencontre chez des personnes qui vivent dans la misère. A contrario, chez nous, il n’est pas rare d’entendre que tout va bien – la famille, le travail, l’entreprise – mais que nous, on ne va pas bien. Car le matériel ne donne pas la joie. C’est quelque chose de profond, d’inaltérable, et de plus en plus rare dans notre monde d’aujourd’hui.
Peut-on se reconnecter à cette joie malgré l’inclination générale pour les plaisirs matériels ? Et comment ?
Je ne pense pas qu’il faut s’y reconnecter. La joie, nous l’avons potentiellement en nous. Il faut la cultiver, la nourrir et surtout s’affranchir de tout ce qui est anti-joie. La joie est au-delà du plaisir. Elle est de nature transcendante, intemporelle. Elle est d’une nature tellement spirituelle et profonde qu’elle n’obéit pas aux lois ordinaires. Nous avons tout sur notre planète pour être heureux. Mais devant une belle oasis, au lieu de s’émerveiller et de voir une source de joie pour les sens, pour l’esprit et pour le cœur, on voit un gisement. C’est la vulgarité de l’argent. Il faut repenser le sens de nos vies.
Je vais souvent en Afrique. Dans la brousse, je rencontre des êtres joyeux, qui sont loin de notre monde de consommation, où on consomme aussi beaucoup d’anxiolytiques ! Il faut reconquérir cette joie tranquille et naturelle, qui donne le bien-être suprême. Comme vous le savez, je suis d’une culture saharienne et musulmane. Chez moi, j’ai toujours vu les gens se réjouir très vite. On demande comment ça va et on a en face de soi un sourire lumineux et quelqu’un qui rassure que tout va bien et qui rend grâce à Dieu, « hamdoulah »… Aujourd’hui, le bonheur est une notion de plus en plus compliquée. Nous sommes dans une détresse incroyable.
De quelle manière vivez-vous cette fête de fin d’année chez vous, en Ardèche ?
Tout simplement. Avec mes cinq enfants, cinq petits-enfants, mes gendres et belles-filles, et des amis, cela fait beaucoup de monde (pour moi, la famille, c’est la famille élargie !). Chez nous comme ailleurs, Noël est une sorte de parenthèse après une année de tracas et de soucis à gérer. Mais c’est très simple. On mange sainement toute l’année, alors pourquoi ferions-nous une exception à Noël ? On fait quelques extra pour marquer le coup. J’aime beaucoup les huîtres… qui sont d’ailleurs un mets très simple ! Je ne dis pas qu’il ne faut pas de fête, au contraire. Les hommes ont toujours eu besoin de fêtes, de célébrations et de cérémonies, qui sont, comme la nourriture qu’on partage dans ces occasions, des prétextes à convivialité et à jubilation collective. Ce que je n’aime pas, c’est cette orgie dépensière, alimentaire, alcoolique, de jouets…
Ici, on a souvent des Noëls très joyeux, mais frugaux. À Montchamp, nous avons vécu sans électricité pendant treize ans. Quelques bougies qui dansent, un feu de cheminée devant lequel on est là, tranquilles, méditatifs… Pour moi, c’est le bonheur absolu. Et puis nous avons la compensation de paysages magnifiques.
Vous employez le mot « compensation », pensez-vous que cette orgie dépensière à la fin de l’année est une façon de compenser nos modes de vie inaptes à procurer la joie dont vous parlez ?
Globalement, quand on regarde la société moderne avec son effervescence productiviste, il n’est pas impossible que tous ces achats compensent les déficits de toute l’année. Ce relâchement est peut-être nécessaire dans nos sociétés incarcérées, déconnectées des joies de la nature. Mais est-ce que cela compense vraiment ? Quand on est proche de la nature, on peut se réjouir plus facilement, c’est vrai.
Noël correspond aussi à la fin des jours les plus courts de l’année, au solstice d’hiver qui annonce le temps de la chaleur, le temps solaire de l’été. La nature se réveille tout doucement, on voit les animaux qui évoluent aussi, la lumière revient… Tout est réglé comme une chorégraphie ; la nature est une scène merveilleuse !
Quels sont les plus beaux cadeaux que vous ayez reçus ?
Celui qui m’a le plus enchanté, enfant, c’est une trottinette. C’était extraordinaire ! Mais je m’amusais beaucoup aussi avec de l’ordinaire. Mon premier vélo a été un fil de fer tordu : c’était le guidon et j’avais imaginé tout le reste. Un bon jouet est un jouet qui provoque l’imaginaire, comme les poupées auxquelles les petites filles s’identifient. Ceux d’aujourd’hui sont beaux, colorés, perfectionnés, ils font du bruit… il n’y a rien à y ajouter. Ce sont des jouets qui amputent l’enfant de son imaginaire. Ils sont trop concrets, trop positifs, trop complexes.
J’ai aussi des souvenirs merveilleux des histoires que me racontait ma grand-mère. Aujourd’hui, enfants et adultes sont saturés de bruit, d’images, de paroles… On est sortis de l’oralité – mais, paradoxalement, la parole a perdu de sa valeur. Elle est devenue réservée aux choses ordinaires et, dans la société, l’espace de dialogue se restreint de plus en plus aussi.
Noël est-il une occasion de penser aux autres ?
Si l’on se réfère au message de Jésus-Christ, c’est un message de compassion et d’amour. Noël est une fête d’une charité profonde, mais le « business » s’en est emparé au point que c’est devenu un pur commerce. Pendant que nous festoyons, des enfants meurent de faim. Pour eux, il n’est pas question de jouets, un bol de soupe serait un cadeau. Nos poubelles sont mieux nourries que beaucoup d’êtres humains. Il est temps de prendre conscience de notre inconscience. D’une manière générale, je pense qu’il faut abolir l’humanitaire. Cesser de donner des sacs de riz, mais tout faire pour que des hommes puissent nourrir leur famille tout en soignant la terre. Les personnes que je forme en agro-écologie sont aussi des guérisseurs de la terre. Je suis en colère parfois, les solutions existent, mais on ne les applique pas. Noël devrait être le temps d’une profonde réflexion.
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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 20:50

Comment dépenseriez-vous chaque euro ?

En fait cette banque magique nous l'avons tous,c'est le temps ! la corne d'abondance des secondes qui s'égrènent. Chaque matin au réveil nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir il n'y a pas de report à nouveau, ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer.Chaque matin cette magie recommence, nous sommes recrédité de 86400 secondes de vie, et nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis : à tout moment la vie peut s'arrêter. Alors qu'en faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ? Cela n'est-il pas plus important que des euros, des secondes de vie ?

tiré du roman de Marc Lévy  "et si c'était vrai ..."

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 12:59

Tous les matins au réveil on te donne 86400 euros, avec pour seule contrainte de les dépenser dans la journée, le solde non utilisé étant repris quand tu vas te coucher ( tu ne peux pas tricher, tu ne peux pas virer cette  somme sur un autre compte), mais ce don du ciel ou ce jeu peut s'arrêter à tout moment. Alors la question est : que ferais-tu si un tel don t'arrivait ?

A suivre, demain ...

tiré du roman de Marc Lévy  " et si c'était vrai ..."

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 11:22

 

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Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu’elle trouve vide. Sur le lit une lettre. Elle imagine le pire en ouvrant la lettre :

Maman chérie,

Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain. Il est l’amour de ma vie. Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tatouages et son piercing et sa super moto. Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie. Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois. Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi. Je me suis enfin rendue compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux. Nous allons en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroïne et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas. Entre-temps, j’espère que la science trouvera un remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux. Il le mérite vraiment tu sais.

Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule et le peu d’expérience qui me manque, Abdoul peut le compenser avec ses 44 ans. J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits enfants. Mais d’abord je vais avec Abdoul chez ses parents pour que nous puissions nous marier. Comme ça, ce sera plus facile pour lui pour son permis de séjour.

Ta fille qui t’aime.

PS : Je te raconte des idioties maman, je suis chez les voisins ! Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pires dans la vie que le bulletin scolaire que tu trouveras sur ta table de nuit. Je t’aime.

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24 août 2011 3 24 /08 /août /2011 19:54

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 12:41

Si quelqu'un désire la santé il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de la maladie. Alors seulement il est possible de l'avoir.

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 12:08

 

 


 

 

 


 
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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 12:59

 

 

Bonjour,  
   
Un jour un conférencier, expliquant la gestion du stressà son auditoire, lève un verre d'eau et demande :
'Combien pèse ce verre d'eau?'  
Les réponses vont de 20 g jusqu'à 500 g.  
  
Le conférencier réplique :  
" Le poids absolu de ce verre n'a aucune importance.  
 Tout dépend de la durée que vous essayez de le tenir.  
 Si je le tiens une minute, ce n'est pas un problème.  
 Si je le tiens pendant une heure, j'aurai de la douleur dans mon bras droit.  
 Si je le tiens pour toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance.  
 Dans tous les cas c'est le même poids, mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »
 
  
Il continue : « Et c'est le même cas avec la gestion du stress.
 Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de plus en plus lourd, on ne sera plus capable de continuer.
 Comme pour le verre d'eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le reprendre.
 Quand on est frais et dispo, on peut continuer avec son fardeau.
 Donc, avant de rentrer à la maison le soir, déposez votre fardeau de travail. Ne l'emportez pas à la maison.  
 Vous pourrez le reprendre demain.  
  
 Et si vous partez de la maison, ne l'emportez pas avec vous, vous n'avez pas besoin de ce boulet toute la
journée...il sera là au retour et vous aurez l'énergie pour y faire face.  
 Quel que soit le fardeau que vous portez maintenant, laissez-le pour un moment si vous le pouvez.  
 Relaxez vous. Reprenez le plus tard quand vous serez reposé. Il vous semblera plus léger ..
La vie est courte. Tachez d'en profiter! »
 
  
Le conférencier a partagé aussi quelques façons de gérer les fardeaux de la vie :
  
- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains jours vous êtes la statue.
- Gardez toujours vos paroles douces et tendres, au cas où vous devriez les ravaler ou qu'elles seraient les dernières que vous direz.
- Conduisez prudemment. Il n'y a pas que les voitures qui peuvent être rappelées par leur constructeur.
- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la délicatesse d'être vague.
- Si vous passez 20€ à quelqu'un et que vous ne le voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.
- Tout le monde s'en fout que vous dansiez mal. Levez vous et dansez!
- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus vous vivez vieux.
- Vous n'êtes peut-être qu'une personne dans le monde, mais vous pouvez aussi être le monde pour une personne.
- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n'être faites qu'une seule fois.
- Passez une très belle journée et sachez que quelqu'un a pensé à vous aujourd'hui..... Je l'ai fait...  

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